L’avenir des voitures autonomes semble radieux, de plus en plus de constructeurs se lancent dans la course, mais également des entreprises comme Intel.
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Que cela soit Volvo, BMW, Toyota, Tesla tous les constructeurs entament des recherches, mais aussi des sociétés autres comme Google ou Airbus sans toutefois connaitre réellement les besoins des futurs automobilistes, ni les contraintes techniques et légales pour chaque pays.
Risque de bulle
C’est pour cette raison qu’une bulle financière s’est formée et entraine de facto des inquiétudes, mais bien évidemment des attentes de découvertes et d’innovations dans le secteur automobile.
Jacques Aschenbroich, le PDG de Valeo, équipementier automobile français, est d’ailleurs confiant à ce sujet. Les chiffres de l’emploi de la société le prouve, en passant de 45 000 employés en 2009 contre 82 000 actuellement. Le PDG déclare d’ailleurs que l’entreprise est le numéro 1 mondial des capteurs pour voitures.
Personne ne sais réellement quand ce type de véhicule sera réellement en fonctionnement et surtout utilisé à grande échelle, mais la seule question est quand ? Aucun acteur ne doute de l’éventuel abandon de ce type de projet.
Des modifications dans un univers citadin ?
Évidemment, cette offre sera essentiellement réservée à la conduite en ville et aux alentours, afin d’éviter la conduite dans des embouteillages, là où la conduite est très limité et est associée à une contrainte.
Par contre, le PDG s’interroge sur le fait que ce service sera géré par les automobilistes ou par un fournisseur de services gérant une flotte de voitures autonomes.